Oh miroir de mon cœur
Auprès duquel mes larmes meurt
Comme un vertige assassin
Rien ne vient dans ma main
Aucune graine ne germe
Dans le jardin de ma peine
Je regarde la nuit qui pleure
Je n'attends que mon heure
Cruel saveur que le manque d'amour
Qui chaque jour devient plus lourd...
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Auprès duquel mes larmes meurt
Comme un vertige assassin
Rien ne vient dans ma main
Aucune graine ne germe
Dans le jardin de ma peine
Je regarde la nuit qui pleure
Je n'attends que mon heure
Cruel saveur que le manque d'amour
Qui chaque jour devient plus lourd...
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Comme un tourbillon, qui tourne tourne et meurt
Mon esprit vagabond panse ses peines
Parfois la vie est cruelle
Douce illusion crevée dans l'œuf
Oh tourment qui ne me lâche
Quand enfin cette joie
Sèchera mes larmes mortes...
Mon esprit vagabond panse ses peines
Parfois la vie est cruelle
Douce illusion crevée dans l'œuf
Oh tourment qui ne me lâche
Quand enfin cette joie
Sèchera mes larmes mortes...
De minuscules écrits après des mois et des mois de plume sèche...
